BRUXELLES – RÉALITÉ I

Pour faire connaissance et parler de l’asphyxie de l’Avenue Louise.

Traduction en italien et en español ci-dessous

Bonjour, je m’appelle Jean Claude Fonder, j’ai 80 ans et suis d’origine liégeoise. J’étais dirigeant de la Olivetti, lorsque celle-ci opérait dans le secteur informatique distribuée. J’ai passé pour cela plus de trente ans en Italie jusqu’à ma pension. Je me suis alors intéressé à la réalisation de revues culturelles en ligne, notamment dans le monde hispanophone où je publie deux titres assez connus Aire Nuestro (141 mille) suiveurs) et Los Amigos de Cervantes (439 mille suiveurs), en expansion tous les deux. Je publie également, en Italien cette fois, Consubel (12 mille suiveurs) pour aider les belges expatriés en Italie dont je faisais partie.

L’année passée, en 2023, nous avons décidé de rentrer en Belgique pour nous rapprocher de notre famille en cette dernière partie de notre vie. Nous y avons réoccupé l’appartement que nous possédions Avenue Louise et où nous vivions avant de partir. Il n’est jamais facile de changer de pays même si l’on reste dans un contexte européen et je peux vous assurer que si l’expectative était grande la désilusion le fut encore plus. Nous n’arrivons toujours pas à le croire.

Je commencerai directement par le quartier Louise, dont le goulet et les Galeries Louise étaient le coeur battant, surtout pendant la période des fêtes que nous attendions en particulier avec son incontournable course aux cadeaux. Incroyable mais vrai, le quartier Louise n’existe plus! Nous ne pouvions plus, à l’abri des intempéries, dans l’athmosphère festive qui caractérisait les Galeries, visiter les meilleurs magasins de la ville, choisir les produits haut de gamme qu’on ne trouvait que lá, s’arrêter en famille pour consommer les meilleures bières ou les meilleurs gâteaux, crêpes ou encore les fameuses gaufres de Bruxelles. Ce n’était pas City 2 ou le Centre commercial de Woluwe. Là bas, cétait un tout autre niveau de qualité et en plus pratiquement il fallait y aller en voiture. Halte là! La voiture est mal vue dans la Bruxelles d’aujourd’hui. Il faut prendre sa bicyclette ou même une trottinette. Comment? À notre âge

Je vous conseille de lire cet excellent article de Maël Duchemin pour comprendre : https://www.lalibre.be/regions/bruxelles/2024/02/03/il-a-asphyxie-les-galeries-louise-un-responsable-pointe-du-doigt-J6GJPAPZFZBUJBEVBPTAOXGDYI/.

QUE SE PASSE-T-IL DONC À BRUXELLES?

á suivre…


Ciao, mi chiamo Jean Claude Fonder, ho 80 anni e sono di origine di Liegi. Ero dirigente nella Olivetti quando operava nel settore de la informatica distribuita. Ho trascorso per questo più di trent’anni in Italia fino alla mia pensione. Mi sono allora interessato alla realizzazione di riviste culturali online, in particolare nel mondo ispanofono dove pubblico due titoli abbastanza noti Aire Nuestro (141 mila seguaci) e Los Amigos de Cervantes (439 mila seguaci), in espansione entrambi. Ho anche pubblicato, in italiano questa volta, Consubel (12 mila seguaci) per aiutare i belgi espatriati in Italia di cui facevo parte.

L’anno scorso, nel 2023, abbiamo deciso di tornare in Belgio per avvicinarci alla nostra famiglia in quest’ultima parte della nostra vita. Abbiamo rioccupato l’appartamento che avevamo in Avenue Louise e dove vivevamo prima di partire. Non è mai facile cambiare paese anche se si rimane in un contesto europeo e posso assicurarvi che se l’aspettativa era grande, la desilusione lo fu ancora di più. Ancora non ci crediamo.

Inizierò direttamente dal quartiere Louise, il cui Goulet e le Gallerie Louise erano il cuore pulsante, soprattutto durante le festedi natale che ci aspettavamo in particolare con la sua imperdibile corsa ai regali. Incredibile ma vero, il quartiere Louise non esiste più! Non potevamo più, al riparo dalle intemperie, nell’athmosfera festiva che caratterizzava le Gallerie, visitare i migliori negozi della città, scegliere i prodotti di alta gamma che trovavamo solo lá, Fermarsi in famiglia per consumare le migliori birre o le migliori torte, crepes o le famose cialde di Bruxelles. Non era City 2 o il centro commerciale di Woluwe. Lì c’era un livello completamente diverso di qualità e in più praticamente bisognava andarci in auto.
Attento! Le macchime sono mal viste nella Bruxelles di oggi. Bisogna prendere la sua bicicletta o anche un monopattino.
Come? Alla nostra età!

Vi consiglio di leggere questo eccellente articolo di Maël Duchemin per capire: https://www.lalibre.be/regions/bruxelles/2024/02/03/il-a-asphyxie-les-galeries-louise-un-responsable-pointe-du-doigt-J6GJPAPZFZBUJBEVBPTAOXGDYI/.

Hola, soy Jean Claude Fondar, tengo 80 años y soy de origen liejense. Yo era director en la Olivetti, cuando ésta operaba en el sector de la informática distribuida. Para ello pasé más de treinta años en Italia hasta mi jubilación. Entonces me interesé en la realización de revistas culturales en línea, especialmente en el mundo hispanohablante donde publico dos títulos bastante conocidos Aire Nuestro (141 mil seguidores) y Los Amigos de Cervantes (439 mil seguidores), en expansión ambos. También publico, en italiano esta vez, Consubel (12 mil seguidores) para ayudar a los belgas expatriados en Italia de los que formaba parte.

El año pasado, en 2023, decidimos volver a Bélgica para acercarnos a nuestra familia en esta última parte de nuestra vida. Volvimos a ocupar el apartamento que teníamos en Avenue Louise y donde vivíamos antes de irnos. Nunca es fácil cambiar de país aunque se mantenga en un contexto europeo, y puedo asegurarles que si la expectativa era grande la desilusión lo fue aún más. Aún no podemos creerlo.

Empezaré directamente por el barrio Louise, cuyo corazón palpitante eran el Goulet y las Galerías Louise, sobre todo durante la época de las fiestas navideñas que esperábamos en particular con su ineludible carrera para los regalos. Increíble pero cierto, el barrio Louise ya no existe! Ya no podíamos, a resguardo de las inclemencias del tiempo, en la atmósfera festiva que caracterizaba a las Galerías, visitar las mejores tiendas de la ciudad, elegir los productos de alta gama que solo se encontraban la, parar en familia para consumir las mejores cervezas o los mejores pasteles, panqueques o incluso los famosos gofres de Bruselas. No era City 2 o el centro comercial Woluwe. Allí, había otro nivel de calidad y además prácticamente había que ir en coche.
¡Alto! Los coches están mal visto en la Bruselas de hoy. Hay que coger la bicicleta o incluso un scooter.
¿Cómo? A nuestra edad.

Les aconsejo que lean este excelente artículo de Maël Duchemin para entender: https://www.lalibre.be/regions/bruxelles/2024/02/03/il-a-asphyxie-les-galeries-louise-un-responsable-pointe-du-doigt-J6GJPAPZFZBUJBEVBPTAOXGDYI/.

Una opinione su "BRUXELLES – RÉALITÉ I"

Lascia un commento